Kentville Research and Development Centre
Rapport sur la rusticité des bourgeons de la Nouvelle-Écosse 2023-24 n° 4
Ci-joint, de Jeff Franklin et du Dr Harrison Wright, le rapport n°4 sur la rusticité des bourgeons de la Nouvelle-Écosse pour l'année 2023-2024. L'enquête sur la rusticité des bourgeons de raisins de cuve de la Nouvelle-Écosse génère des rapports occasionnels sur les valeurs d'exothermie à basse température (LTE) au cours de la période de dormance (environ de la fin octobre à la fin avril).
Note de l'équipe de recherche : Toutes les variétés étudiées ont subi une désacclimatation par rapport à la date de la dernière étude en janvier, laissant les vignes à un niveau de rusticité inférieur pour la période de l'année. période de l'année. Le changement le plus important concerne les variétés hybrides qui ont toutes subi une désacclimatation de plus de 1 °C. Si l'on se réfère à nos enquêtes des années passées, il y a des cas où la désacclimatation commence tôt et se poursuit lentement pendant le reste de l'hiver, ainsi que des cas où les bourgeons se désacclimatent avant de regagner du terrain. désacclimater avant de retrouver une certaine rusticité. Les températures que nous recevrons au cours des deux dernières semaines de février détermineront lequel de ces deux scénarios se réalisera. de février détermineront lequel de ces deux scénarios se réalisera. Bien que plus frais que l'hiver dernier, cet hiver a été relativement doux par rapport aux 25 dernières années. La température moyenne du 1er janvier au 15 février 2024 a été de -2,6 °C, alors que la moyenne sur 25 ans est de -4,7 °C. La température minimale moyenne pour cette même période a été de -5,8 °C, alors que la moyenne sur 25 ans est de -9,2 °C. Les nuits en dessous de -10 °C ont été relativement rares cet hiver. ce qui a probablement contribué aux valeurs de résistance des bourgeons observées. Les prévisions actuelles à long terme pour le reste du mois de février annoncent que Les températures seront légèrement supérieures à la moyenne saisonnière, ce qui laisse une bonne marge entre les températures observées et les températures dommageables prévues.